Risk Magazine

Le magazine de l'univers du Risk, ce célèbre jeu de société, ou jeu de plateau. On y trouve des articles sur les stratégies à employer, des résumés des plus grandes parties, le classement officiel de Risk-magazine, mais aussi des articles sur les plus grandes stars du monde du Risk.

07 mars 2006

internaute : vous saurez tout !

Rosenberg dont vous avez hélas tous entendu parler est, non seulement juif, mais aussi, et ce n'est pas négligeable, une imposture. pour l'instant , vous me direz, rien de nouveau. mais ne soyez pas si impatients chers internautes ce n'est que le début d'une longue chronique destinée à vous vanter les mérites et le parcours abracadabrandesque pour ne pas dire "non mais" de l'illustre et dégoulinant rosenberg qu'Hémingway qualifiait de et je cite " nez fourbe". bref amis, au RISK de paraitre méchant je dirais et soutiendrais que notre affreuse connaissance Rosenberg pue des pieds en plus de tenir au Saint Jeu afin de compenser une vie fade et morne qui n'a rien a envier au destin tragique des octogénaires dont s'occupe notre regretté guillame Salice, immonde personnage nous sommes d'accord.
sachez le, Rosenberg ne dupe personne. ne prenons pas les internautes pour des canards sauvages, meme en c'est temps difficile ou les nos amis volatiles sont reniés. je disais donc Rosenberg ne dupe personne, pas meme la mère de goul, inaudible travesti à l'accent qui pue salement le réfugié politique de longue date. attardons nous sur Rosenberg et sa dark caché. j'ai déjà parlé de son père, incalculable rabbin à la séxualité plus que douteuse qui écrivit en son temps ce pamplhet hirsute intitulé " talmud 69" qui défraya la chronique en son temps. si si ! bref Rosenberg eut une enfance difficile. maltraité par ses amis, violé par le jeune Arafat, éxilé, battu, attaché, éduqué par Zidy qui en 2002 le persuade qu'il peut etre un champion du RISK (aujourd'hui on en ris) , notre homme quitte Jérusalem ouest en mars 2003 et gagne dans une naiveté touchante Marseille ou dès son arrivée il se fait violé par un bande légitime de Harkis en rut. les débuts sont donc difficiles pour notre protagoniste au nez non avantageux . l'anu encore fumant notre héros regrettant déjà les abords bienfaisants du mur des lamentations tombe sous le joug pour le moins brutal d'une bande de hooligans nimois qui sentent bon la cocagne provencoise. finalement marchand sur les mains , l'illustre descendant d'Hérode décide comme tous les connards bienfaisants de gagner la capital ou croit-il, il sera ce pourquoi il est née. énième désillusion: les supporters du PSG ne sont pas réputés pour les ouvertures d'esprits. notre pauvre Rosenberg qui alors ne marche plus sur rien, entreprend un coup de poker qui hélas lui sera fatal. il s'inscrit dans un club de Monopoly (ce jeu) ou il connaitra des hauts et des bas. " plutot des bas" dira plus tard alfred de musset qui soit disant passant n'avait pas oublié d'avoir un nom ridicule. comme notre ami arménien, rosenberg se voyait déjà en haut de l'affiche; c'est pourtant au tréfond du bois de boulogne que notre regrétté israélite finira, enseveli sous une demi douzaine de travesti pour le moins douteux. inutile de dinre que le pauvre héros de mon histoire se trouve alors au bout du rouleau. vous voyez hélas déjà ou je veux en venir : Rosenberg ne sert à pas grand chose, "à rien !!!" bon d'accord. a la question " Rosenberg est-il un raté ?" je dirais un peu de patience chers internautes j'y travaille.
"on a du mal a croire que le Rosenberg fut un spermatozoide" voilà en quels termes s'exprimait claude Nougaro avant son concert mémorable au Bataclan en octobre 2001. difficile d'y croire en effet quand on connait la pietre consistance de l'individu. mais reprenons chronologiquement.
avril 2003, "long nose" comme l'appelle déjà le tout Paris est dans la panade, pour ne pas dire dans un merde noire.
au pays tout va mal!
février 2004, il se met au RISK, le tournant de sa vie mais en fait non. il se croit fort. tout le monde le sait nul. sa mère lui écrit. son analphabétisme lui interdit une réponse. reverra t-il un jour le soleil darder sur les toits anarchiques de sa cité millénaire? on s'en fout pas mal. mourant de faim, arpantant les trottoirs de paname, rosenberg n'est plus qu'un nez gigantesque déambulant au hasard des boulevards à la recherche d'une célébrité improbable. inutile de dire qu'i lest alors au fond du bocal. mais le vent va tourner et, cet homme sur lequel on crache va touver la resource de s'enfoncer encore un peu plus. ben si si je vous le dis. mai 2005, il prend une décision hilarante : il se met au Risk. a cette époque la sainte institution est dominée par un homme à part: moi. survolant les tournois, subjuguant les jury internationnaux, bluffants partis après partis ses fans, révolutionnants des stratégies depuis longtemps sclérosées, dépoussiérants des tactiques pas assez approffondies, cet homme, moi, a su donné au risk un nouvel élan. c'est donc dans ce contexte que Rosenberg débarque. la suite prete à rire. il commence par s'immiscer sans retenue dans les cercles incultes et incompents de la rue Raspail ou foisonne les hommes qui sont des femmes et vice et versa. il est alors dans sa période yéyé. monsieur se maquille et suce des zizis aux abords de l'auroroute menant vers Lyon. le destin est en marche. hélas ses trois neuronnes prennent vite le dessus sur ses adversaires routiers qui ne sont pas connus pour leurs intellects fracassants. l'hébreu perce donc. filant de fausses victoires en fausses victoires. allant jusqu'à vaincre Anny cordy qui il faut le dire était dans un soir d'ivresse. son premier tournoi professionnel se passe aux iles Kerguelen. grosses défaites. et c'est à cette période qu'il écrit son premier faux roman." pourquoi je sers à rien?"...... la suite très vite chers lecteurs assidus soucieux de faire toute la vérité sue l'arnaque Rosenberg.